Pour l’exposition individuelle l’Envol, Sandrine Ronvaux revient à ses techniques de prédilections : le dessin et la peinture. L’Envol se décline comme un conte narratif sur la rupture, le deuil, la reconstruction de soi et a comme toile de fond la ville de Luxembourg.

« Sandrine travaille comme un écrivain, ce qui irrigue sa langue – un vocabulaire plastique narratif -, c’est son vécu, la fibre fraternelle d’abord. C’est donc sensible, mais d’une infinie élégance de cœur : une pudeur qui dit que les histoires d’amour et les chagrins sont universels. »

(source : Le Jeudi du 14.1 au 20.1.2016 – La Culture Expos page 29, Marie-Anne Lorgé, Une silhouette sur la ville – Konschthaus « Beim Engel »: Sandrine Ronvaux, « L’envol », dessins, peintures jusqu’au 24 janvier).